Connexion

Actualités

Les dernières chroniques de L'Opéra de Shaya

Les chroniques estivales concernant L'Opéra de Shaya de Sylvie Lainé :

 

"Les nouvelles de Sylvie, les rencontres avec des Autres presque imaginaires, sont des petits joyaux, qu’il ne servirait à rien de déflorer." 

 

"Ne comptez pas sur moi pour lever le voile : ["L'Opéra de Shaya"] de Sylvie Lainé se déguste comme un délicieux mets, la révélation finale est un dessert amer mais savoureux. Tout du long, elle y déploie une langue lumineuse, à l’image de la forêt shayenne et du bonheur (éphémère) qu’y trouve So-ann. C’est de l’humanité de cette dernière, de nos défauts (la curiosité, la jalousie, la peur, l’égoïsme) qu viendront les moments sombres. (...) S’il existe une SF contre-américaine, dans ses thèmes et son traitement, Sylvie Lainé est en plein dedans. Pour notre plus grand bonheur." 

 

"Dans la préface, Jean-Marc Ligny évoque les thèmes abordés par Sylvie Lainé dans ses nouvelles. L’autre mais surtout nous-même, humain limité par nos sens et préjugés, figurent au cœur de ses préoccupations. Je le rejoins sur ces points me permettant de faire un parallèle entre l’auteure et Ursula Le Guin, du moins pour l’ambiguïté du propos et les qualités de plume. Je me joins aussi aux laudateurs de la dame. Elle est une excellente nouvelliste dont je vais m’empresser d’acquérir les autres recueils." 

 

"Au final, je dois bien dire que j'ai adoré ma lecture. Cela fait du bien de lire des choses comme celle-ci, qui redonne un peu confiance en l'autre, en les rencontres que l'on peut faire. Et puis l'écriture de Sylvie Lainé m'a vraiment transporté, que se soit lorsqu'elle décrit les paysages de ces mondes, Shaya par exemple semble magnifique, ou les relations entre ses personnages. Elle se sert de nos sentiments, de notre perception de manière intéressante, ne tombant jamais dans le trop ni dans le pas assez. J'ai adoré les idées véhiculés dans tout le recueil, fraiche et optimiste (je me répète un peu non ?)." 

 

"J’ai passé de nouveau un très bon moment de lecture avec ce recueil de quatre nouvelles qui nous font réfléchir de façon passionnante sur le regard sur l’autre, les différences de cultures et leurs acceptations, mais aussi sur la communication et le langage. L’Opéra de Shaya est le gros morceau de ce livre, mais, rien que pour ce texte il mérite vraiment d’être découvert tant, malgré un démarrage assez classique, j’ai été touché par cette histoire, ses idées et ses personnages." 

Nouveaux avis pour Fées, weed & guillotines

Les avis continuent de tomber pour Fées, weed & guillotines de Karim Berrouka :

 

 

"« Le polar de Karim Berrouka est halluciné et décalé. Au travers l'histoire de Jaspucine, qui navigue entre le monde des fées et le monde des humains à l'époque de la Révolution française, " Fées, weed et guillotines " fait le portrait de notre société. Roman d'humour noir, cynique et décalé, il s'inscrit dans la continuité des sketchs des Monty Python ou encore des romans de Terry Pratchett. À lire absolument ! »" 

 

"J’ai adoré le ton du récit, corrosif et absurde, qui sait se jouer des mots et détourne des expressions connues avec beaucoup d’intelligence. C’est très jubilatoire. (...) C’est divertissant, bien troussé et très absorbant. Bref, à découvrir de toute urgence !" 

 

"Karim Berrouka nous livre un roman fort sympathique, drôle, acide quand il s’agit de critiquer notre belle société, complètement décalé grâce à certaines trouvailles sur le monde féerique (...) Bref, pour conclure : un grand plaisir de lecture, drôle et barré ! (...) [H]ave fun !" 

1er avis pour L'Héritière

 

Alors que L'Héritière de Jeanne-A Debats sort demain en librairie, voici déjà un premier avis signé Andrée la papivore sur son blog :

 

"L'héritière est un passionnant roman fantastique que j'ai lu d'une traite. (...) L'histoire est très bien écrite, le ton est plutôt adulte et l'humour omniprésent, je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. L'histoire est complète, c'est-à-dire qu'il y a une vraie fin, mais la mention "Testament 1" sur la page de titre laisse à penser qu'une suite des aventures d'Agnès est envisageable. En tout cas, moi, je vote pour à 100 % !!" 

Nouvel avis pour Après la chute

 

Un nouvel avis pour Après la chute de Nancy Kress, signé Nicolas Soffray de la Yozone : 

 

"Beau, puissant, « Après la Chute » nous pousse à réfléchir sur l’avenir de la planète, mais surtout sur la nature humaine, et les excès dont elle est capable pour sa survie, à l’échelle du monde ou de l’individu." 

Revue de presse Dernières nouvelles de Majipoor

Premières chroniques pour Dernières nouvelles de Majipoor de Robert Silverberg :

 

  • SF Mag, été 2014 :

"De beaux récits qui brassent les thèmes de l’apprentissage, de la découverte, du pèlerinage, de la responsabilité, et au travers desquels on voit des pans de l’histoire de Majipoor se façonner à mesure que se construisent les personnages qui se choisissent une vie et une destinée, petite ou grande, anonyme ou légendaire. Après de longues années d’attente – 8 tomes en 33 ans, Silverberg ne fait pas de la fantasy au kilomètre – le charme opère une nouvelle fois, la luxuriance et l’exotisme de l’univers de Majipoor transparaissant dans chaque phrase ciselée par l’écrivain, servi par une traduction de belle facture. Conteur hors pair, le grand Bob n’a pas son pareil pour nous emmener très loin tout en nous faisant croire que nous sommes tout près de chez nous, tant il sait dépayser ses lecteurs sans jamais les égarer en chemin." 

 

"S’il enchantera certainement les amateurs du cycle, cet ouvrage est donc aussi une formidable porte d’entrée sur cet univers foisonnant tant que sur le talent de Robert Silverberg, qui passe de la grande à la petite Histoire et se plaît parfois à emmêler les deux. (...) La nouvelle est une forme d’autant plus appréciable quand elle vient alimenter un cycle qui se mesure en milliers de pages. Et ce magnifique volume, dense et varié, donne la pleine mesure du talent de Robert Silverberg, et la richesse de son univers." 

3 chroniques pour Après la chute

Les chroniques commencent à tomber pour Après la chute de Nancy Kress :

 

"Nancy Kress signe là un véritable roman de science-fiction, avec ce qu'on s'attend à y trouver. Mais, c'est bien plus que ça, parce que le message sous-jacent est on ne peut plus d'actualité, on ne peut plus fort, on ne peut plus concernant. Reste à savoir si nous sommes prêts à l'entendre." 

 

"Ce livre est un cadeau, doté d’une écriture fabuleuse pour un sujet si sensible, le apocalyptique." 

 

"Largement centré sur la question de la responsabilité de l’homme envers son futur, Après la Chute se pose de bonnes questions autour de la notion « Que livrer à nos enfants ? », et cela pas seulement dans le domaine de l’environnement mais aussi de l’éducation et des valeurs." 

Revue de presse estivale pour Stoner Road

Tout au long de l'été, de nombreuses chroniques sont tombées pour le roman de Julien Heylbroeck, Stoner Road.

 

"Il fallait bien que ça arrive, que la fusion nucléaire rock/ fiction soit tentée et c’est le petit alien, français en plus, “Stoner Road” de Julien Heylbroeck qui s’y colle. Malin et jeux de rôliste averti, l’auteur a choisi de camper son intrigue d’aventures initiatico-fantasy dans le désert, le desert rock étant, inutile de vous le rappeler, l’autre nom du stoner rock, le stoner rock étant lui, faut suivre, le fil rouge de cette machinerie, on est bien au cœur d’un dispositif construit autour du rock et en l'occurrence, rythmé par des chapitres aux titres empruntés au stoner rock et sonorisé par une BO détaillée. Orphée moderne et défoncé, le héros y cherche bien sûr son Eurydice, son Ofelia et court pour la retrouver dans les “generators parties”, ces fêtes ante-Coachella dans le désert californien où jouaient à l’œil dans les années 90 des groupes indie locaux comme Kyuss grâce à des générateurs, des bières et pas mal de drogues. Mêlant allègrement références mythologiques et péripéties gore, la culture stoner rock et la culture stoned tout court, saupoudré donc d’une bonne dose d’hallucinogènes, de champignons, d'ecstasy, le tout dans un décor cent pour cent américain parfaitement planté quoique peuplé de monstres dionysiaques, “Stoner Road” est le livre rock le plus dépaysant et original de la saison." Rock & Folk d'août 2014
 
 
"À la fois parcours du combattant sous acides, chemin de croix ponctué de riffs hypnotiques et quête initiatique à la mode « white trash », Stoner Road se trouve quelque part entre Sur la route de Kerouac, Cul-de-sac de Kennedy et la tétralogie « Bourbon Kid » du fameux Anonyme." Artikel Unbekannt dans La Tête en noire n° 169
 
 
"Une initiative maline, ancrant cette histoire un peu folle et sacrément prenante dans la nébuleuse de cette contre-culture hissant le cool au rang d’art. Résultat : Un mariage parfait entre un style littéraire et une musique partageant une valeur essentielle : celle ce ne pas se prendre au sérieux." Iro 22 sur le site Desert-Rock
 
 
"Comment dire. Whaou. La claque. (...) Tout ça pour dire que ce roman m’a emmené loin, dans des territoires connus et dans d’autres beaucoup moins, et qu’il me tarde de pouvoir y retourner." Sirius Vivas sur son blog
 
 
"La grande force de ce roman est la présence d'aucuns temps morts, l'écriture y est fluide et décontractée et je dois avouer qu'en tant que fan de Graham Masterton, j'ai eu l'impression de lire un de ces romans , tellement l'atmosphère fantastique y est bien entretenue, mais avec cette patte particulière de l'auteur" Jean-Luc Boutel sur son blog
 
 
"L’intrigue est prenante, menée à un rythme soutenu qui ne laisse pas le temps de s’ennuyer. On voit se dénouer les fils de l’intrigue. Les passages hallucinés par la prise de drogues sont époustouflants (à se demander ce que l’auteur a testé ou pas) et jettent un certain doute sur ce que l’on va découvrir ensuite ; réalité ou hallucination due aux substances? Le voyage se poursuite au rythme des moteurs vrombissant sur les routes gorgées de chaleur de ce sud américain rugueux et hostile. Et quand on arrive au grand final apocalyptique et gore, on se retrouve plongé dans un délire malsain." FredH sur son blog
 
 
"(...) on a donc un thriller fantastique avec un final en appelant à la mythologie Aztèque qu'un Graham Masterton n'aurait pas renié, même s'il porte aussi la touche et le style de son auteur (...)." Stegg de Psychovision
 
 
"(...) "Stoner Road" est un excellent divertissement et une play list portative." Joyeux Drille sur son blog
 
 
"En bref un récit qui sent la pisse, la bière et la sueur où l’on passe du rire à l’angoisse d’une page à l’autre à un rythme trépidant. Car en effet le livre se lit vite, très vite. J’ai été incapable de poser le livre avant de l’avoir fini. (...) Sans hésitation Stoner road est un livre sympathique qui se lit d’une traite comme une bière tiède durant un concert de métal. On ne criera pas au génie littéraire mais bien au bon goût d’un auteur qui ne se la raconte pas et nous offre une intrigue et une ambiance solide et palpable. Je le conseille donc sans hésiter." Dr. Dandy sur son blog
 
 
"En bref et pour conclure, Stoner Road s’est révélé être une expérience ludique, prenante et assez poilante. Série Z décomplexée, ce roman maîtrisé et très référencé plaira à tous les afficionados de roman trash, de Tarantino et autres artistes bien barrés ! Une petite pépite pour se faire plaisir sur la fin de l’été !" StepH sur son blog
 
 
"(...) Stoner Road est un chouette roman, qui colle à l’ambiance stoner comme un t-shirt de Kyuss colle à son porteur après deux heures de generator party dans le désert. C’est lourd, c’est hypnotique, ça balance les watts. Oui, la musique aussi." Alias sur son blog

  1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104