Retrouvez une interview de Laurent Queyssi signée Philippe Boulier sur le blog du Bélial'.

Il revient sur son recueil de nouvelles, Comme un automate dément reprogrammé à la mi-temps.

 

Extrait :

 

Tu en as retravaillé certaines pour l’occasion ?

Très peu, finalement. J’ai relu et repris les choses qui me gênaient vraiment, mais guère plus. J’ai modifié un point de détail dans « Fuck City », suite à une remarque de Gilles Dumay, mais pour l’essentiel, les textes sont restés dans leur jus. Je n’ai pas très envie de retravailler de fond en comble des nouvelles qui datent de plusieurs années. Les défauts font partie des textes et j’espère qu’on voit ainsi la trace des progrès accomplis. Je ne suis pas pour effacer les traces du passé, même si certaines ne ressemblent plus à l’auteur que je suis aujourd’hui.