On parle de Robert Silverberg sur le blog de Soleil Vert et donc...

 

du Dernier chant d'Orphée :

"On n’oubliera pas la préface introductrice à l’œuvre de Pierre-Paul Durastanti puis l’interview minutieuse de Eric Holstein à l’assaut de la montagne Silverberg et qui ne s’en laisse pas compter par un Shogun un peu enclin à refermer rapidement le dialogue. Un ouvrage à glisser entre deux tomes de fantasy de votre rejeton, histoire de l’instruire en le distrayant …"

 

des Vestiges de l'automne :

"« Je hais les voyages et les explorateurs », cette phrase de Claude Lévi-Strauss aurait pu figurer en incipit (quoique pour des motifs différents) de cette longue et belle nouvelle pas très éloignée des royaumes du Mur, un autre ouvrage de Robert Silverberg. Une réflexion sur l’Histoire qui se prolonge dans la préface de Gérard Klein. A 10 euros c’est un somptueux cadeau."

 

et d'Hanosz Prime :

"La nouvelle Hanosz Prime s'en va sur Terre, donne l’impression que l’auteur américain a sacrifié pour une fois à Dionysos et non à Apollon. L’intrigue est inexistante (un jeune homme se rend sur Terre et tombe amoureux) mais la plume flambe. A prendre comme un heureux présage avant les Tales of Majipoor promises pour 2013 ?"