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Celui qui bave et qui glougloute

Collection Les Trois Souhaits
Épuisé Épuisé

Livre papier
978-2-9522502-4-5
Parution : 1 avril 2007

87 pages

Prix de vente : 6,10 €

Illustrateur (couverture) : Philippe CAZA

Existe aussi en numérique.

Celui qui bave et qui glougloute

1890, dans l'Ouest américain. Les derniers rapports des Tuniques bleues relatent d'étranges événements. Les Indiens, soutenus par des alliés invincibles, mènent des combats d'une force insoupçonnée et refoulent, pour la première fois, l'armée vers l'est. La rumeur tend à justifier ce revirement : leurs alliés seraient-ils des esprits démoniaques ? Des monstres venus d'une autre planète ? Kit Carson — chasseur de prime — , le professeur Lévêque et le séduisant détective Nat Pinkerton forment l'équipe intrépide qui dénouera la vérité dans une quête périlleuse à travers le mythique Far West et ses légendes : Calamity Jane, Jesse James, les Dalton. Cette grande nouvelle totalement débridée est un pur bijou steampunk !

Né en 1960, Roland C.Wagner est auteur de science-fiction. Ses romans, récompensés par de nombreux prix, révèlent un style et une imagination uniques. Avec Celui qui bave et qui glougloute, l'auteur des Futurs Mystères de Paris et de H.P.L, signe un texte drôle et décalé.

Revue de presse :

 

"Un univers steampunk iconoclaste et drôle." Le Chien critique sur son blog

 

"Une novella riche en rebondissement avec du western, des "extra-terrestres", des livres interdits, des femmes déguisées des hors la loi goinfres… Bref, un cocktail détonnant à découvrir" Snow sur son blog

 

"Ce mélange entre la SF et le far west est étrange mais la sauce prend. Cet exercice de style est réussi puisque le côté loufoque prend le dessus tout du long. Le rythme acharné nous offre une fin très vite pliée." Acr0 sur son blog

 

"En définitive, Celui qui bave et qui glougloute est un excellent roman d'aventure de série B (et pour moi « série B » est loin d'être péjoratif). Très court (il est possible de le lire d'une traite), mais c'est peut-être pour ça que l'on ne s'ennuie pas un instant en le lisant. Il a finalement les défauts et les qualités d'une bonne série B : de l'action et du suspense, sans trop se soucier de la vraisemblance. Sans compter une dose d'humour et de références dont je n'ai probablement vu que la partie émergée de l'iceberg." Vinze sur son blog

 

"(...) Celui qui bave et qui glougloute s'avère une lecture plaisir sans prise de tête. Un bon moment de lecture.." Jess Kaan sur son blog

 

"(...) j’ai attendu quelques temps pour relire avec un regard neuf cette farce de Roland C. Wagner. Et je ne suis pas déçu d’être revenu sur les traces de Celui qui bave et qui glougloute ! Car qu’importe si l’histoire part allègrement dans un dénouement des plus loufoques, cet hommage improbable regorge de références à l’imaginaire du western populaire et aux légendes de Providence. Un régal à lire pour se détendre, et justement, se poiler un bon coup." Guillaume sur le Traqueur Stellaire

 

"Cette nouvelle parodique est très fraiche à lire et m’a apporté un réel plaisir de lecture, à conseiller. " Cédric Jeanneret sur son blog

 

"Vous l’aurez compris, Celui qui bave et qui glougloute est un joyeux moment de lecture, sur fond de steampunk. Les clins d’œil y sont nombreux, à Lovecraft tout d’abord, mais aussi aux nombreux héros de western qu’on y rencontre, de Calamity Jane à Buffalo Bill. C’est un livre qui se dévore à grands éclats de rire, et tant pis si on bave et si on glougloute en le lisant : c’est contagieux !" Lucie Chenu sur Noosfere

 

"On rit beaucoup à la lecture de cette novella, archi bourrée de références et d’hommages, dans la pure veine des récits d’aventures publiés par Weird Tales ou Amazing Stories. Un très bon moment de lecture et de détente où le l’amateur de SF s’amusera à repérer les diverses influences et clins d’œil. Jubilatoire pour le moins." Winter sur Eclipshead

 

"Un texte cyberpunk rapide (...) et passionnant : impossible de le poser avant la dernière page". Etienne sur fantastinet

 

"Petit récit bien sympathique, plutôt drôle qui détourne bien les grands mythes du western et les grands mythes du Maître de Providence avec un bon délire sur le Necronomicon. Pour se détendre et rire un peu". Chimère sur Le blog A livre ouvert

 

"Wells, Verne et Lovecraft au Far West ! La situation est rapidement et efficacement mise en place, le récit avance à vive allure sans temps mort. Roland C. Wagner aligne les personnages emblématiques de l’Ouest américain et multiplie les clins d’œil avec humour en croisant et détournant les genres. Au final cette nouvelle est un très bon moment dont on peut juste regretter la fin assez rapide.". Efelle sur le blog Les lectures d’Efelle