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Le Grand Amant

Collection Hélios
Épuisé Épuisé

Livre papier
978-2-917689-79-0
Parution : 21 octobre 2014

192 pages

Prix de vente : 8,00 €

Traducteur·trice : Monique LEBAILLY
Illustrateur·trice (couverture) : Rodolfo REYES

Existe aussi en numérique.

Le Grand Amant

« Il est presque temps de parler de la Dame. J’ai hésité à le faire parce que, si quelqu’un trouvait mon journal et le lisait, il penserait que je suis fou. Je ne suis pas fou. »

 

Juillet 1916, bataille de la Somme. James Edwin Rooke, jeune officier et poète, consigne les horreurs de la guerre dans son journal. Les camarades morts pour gagner quelques centimètres de terrain. Les conditions effroyables dans les tranchées. Les ordres absurdes...

Mais, blessé au fond d’un trou d’obus, il a également aperçu de la beauté sous les formes d’une femme superbe. Un parfum de violette, une robe diaphane, de longs cheveux blonds...

Qui est-elle ? Que fait-elle sur le champ de bataille ?

Serait-ce l’Ange de la Mort, venu le réclamer ?

 

Dan Simmons est l’une des figures majeures de la littérature américaine. Science-fiction (Hypérion/ Endymion), fantastique (L’Échiquier du mal, Nuit d’été), roman historique (Drood, Terreur) ou encore polar (la trilogie Joe Kurtz), pour ne citer que quelques-unes de ses oeuvres les plus emblématiques, il touche à tout avec une facilité déconcertante et toujours une grande réussite. Le Grand Amant, qui nous plonge dans l’enfer de la Première Guerre mondiale, a reçu le Grand Prix de l’imaginaire.

Revue de presse :

L'avis de Maestro

"Entre rêve et réalité, douceur et horreur, Dan Simmons nous offre un court roman impressionnant qui lui valut le Prix de l’Imaginaire en 1996, couronnant fort justement son talent multiforme." Hervé Lagoguey dans SF Mag

"du grand art" Alain Amblard sur son blog

"[L]la construction et la « véracité » du récit sont magnifiques." Jean-Loup sur Amazon

"Le grand amant se dévore avec passion et renvoie à une littérature contemporaine de la grande guerre, celle de William Hope Hodgson, que le fin lettré Simmons ne peut que connaitre. Au total, cet ouvrage constitue une nouvelle preuve du talent de l’auteur d’Hyperion." Sylvain Bonnet de Phénix-Web

"Outre le remarquable travail de reconstitution effectué par l’auteur, ce qui fait la force du livre tient surtout en la capacité de Dan Simmons à nous faire partager l’état d’esprit qui devait être celui de ces soldats condamnés à participer à des assauts meurtriers et à l’efficacité douteuse. Par le biais de son journal, le protagoniste du roman expose toutes les émotions par lesquelles il sera passé au cours de ces longs mois : la résignation, l’indignation, l’abattement, l’euphorie, et surtout la peur, omniprésente, qui ne lui laisse un instant de répit que lorsque « sa Dame » lui rend visite. Une petite touche de fantastique qui permet au personnage comme au lecteur de reprendre son souffle et de s’échapper, pour quelques minutes, de l’enfer de la guerre." Boudicca du Blibliocosme

"Le grand amant est un livre marquant, emprunt d'un grand réalisme sur les lieux de la guerre des tranchées mais aussi d'une grande beauté car au bout du compte c'est bien un hymne à la vie que nous délivre ce jeune poète à travers son journal de guerre." Didi sur son blog

"Dans le Grand Amant (...) le talent d'un grand romancier s'exprime." Euphemie sur Babelio

"C’est un court roman fantastique, et cependant un roman étonnant, poignant. Comme un témoignage bouleversant. Il interpelle et il choque par son réalisme, mais il est néanmoins porteur d’espoir. L’écriture est belle, malgré le contexte de l’enfer des tranchées parfois difficile." Doms sur Babelio

"La fin de la novella prouve aussi, une fois de plus, que Dan Simmons est le maître incontesté des finales. L’immersion y est totale : décrocher de la lecture devient impensable lors du dernier quart de la nouvelle. L’émotion déborde et la résolution de cette histoire, qui tourne autour du tableau « L’Amour et la Mort » (1885) de G. F. Watts, et du poème « Le grand amant » de R. Brook, est bouleversante. « Le grand amant » n’a pas usurpé son Grand Prix de l’Imaginaire (catégorie nouvelle) de 1996." Ertemel sur son blog