Deux nouvelles chroniques pour l'anthologie en hommage à Jack Vance, Chansons de la Terre mourante.

 

Celle de Ptite Trolle sur son blog :

"Ce que j'ai aimé dans cet univers, c'est l'exotisme permanent, avec de grands magiciens qui vivent dans leurs tours au milieu de leurs grimoires et de leurs potions, des démons et des esprits, des lieux grandioses et mystérieux, des artefacts magiques, mais aussi des sorts aux noms farfelus et à l'utilité parfois discutable, des quêtes insolites, et des personnages souvent étonnants. C'est aussi cet état d'esprit général, bien retranscrit dans certaines nouvelles, où l'on hésite entre le désespoir, la fatalité face à une Terre qui se meure, et la volonté de vivre sans penser au lendemain, et donc à rechercher tous les plaisirs de la vie, au détriment parfois de la morale ou du bon sens." 

 

Celle de Noé Gaillard sur le site Murmures :

"Mais j’avoue un grand faible pour les trois dernières nouvelles, peut-être aussi parce qu’elles ont le même traducteur, qui me semblent à la fois plus subtiles et tout aussi classiques - respectueuses et originales à la fois, comme la Silverberg. Les auteurs : Walter Jon Williams, G.R.R. Martin et Jeff Vandermer. Je ne vous les raconte pas. Sachez simplement qu’elles apportent l’indispensable touche de perversité qui donne beaucoup d’intérêt à la magie. L’apprenti architecte d’Abrizonde de W.J. Williams est insidieusement peut-être le pire en matière de fourberie..."