Tout au long de l'été, de nombreuses chroniques sont tombées pour le roman de Julien Heylbroeck, Stoner Road.

 

"Il fallait bien que ça arrive, que la fusion nucléaire rock/ fiction soit tentée et c’est le petit alien, français en plus, “Stoner Road” de Julien Heylbroeck qui s’y colle. Malin et jeux de rôliste averti, l’auteur a choisi de camper son intrigue d’aventures initiatico-fantasy dans le désert, le desert rock étant, inutile de vous le rappeler, l’autre nom du stoner rock, le stoner rock étant lui, faut suivre, le fil rouge de cette machinerie, on est bien au cœur d’un dispositif construit autour du rock et en l'occurrence, rythmé par des chapitres aux titres empruntés au stoner rock et sonorisé par une BO détaillée. Orphée moderne et défoncé, le héros y cherche bien sûr son Eurydice, son Ofelia et court pour la retrouver dans les “generators parties”, ces fêtes ante-Coachella dans le désert californien où jouaient à l’œil dans les années 90 des groupes indie locaux comme Kyuss grâce à des générateurs, des bières et pas mal de drogues. Mêlant allègrement références mythologiques et péripéties gore, la culture stoner rock et la culture stoned tout court, saupoudré donc d’une bonne dose d’hallucinogènes, de champignons, d'ecstasy, le tout dans un décor cent pour cent américain parfaitement planté quoique peuplé de monstres dionysiaques, “Stoner Road” est le livre rock le plus dépaysant et original de la saison." Rock & Folk d'août 2014
 
 
"À la fois parcours du combattant sous acides, chemin de croix ponctué de riffs hypnotiques et quête initiatique à la mode « white trash », Stoner Road se trouve quelque part entre Sur la route de Kerouac, Cul-de-sac de Kennedy et la tétralogie « Bourbon Kid » du fameux Anonyme." Artikel Unbekannt dans La Tête en noire n° 169
 
 
"Une initiative maline, ancrant cette histoire un peu folle et sacrément prenante dans la nébuleuse de cette contre-culture hissant le cool au rang d’art. Résultat : Un mariage parfait entre un style littéraire et une musique partageant une valeur essentielle : celle ce ne pas se prendre au sérieux." Iro 22 sur le site Desert-Rock
 
 
"Comment dire. Whaou. La claque. (...) Tout ça pour dire que ce roman m’a emmené loin, dans des territoires connus et dans d’autres beaucoup moins, et qu’il me tarde de pouvoir y retourner." Sirius Vivas sur son blog
 
 
"La grande force de ce roman est la présence d'aucuns temps morts, l'écriture y est fluide et décontractée et je dois avouer qu'en tant que fan de Graham Masterton, j'ai eu l'impression de lire un de ces romans , tellement l'atmosphère fantastique y est bien entretenue, mais avec cette patte particulière de l'auteur" Jean-Luc Boutel sur son blog
 
 
"L’intrigue est prenante, menée à un rythme soutenu qui ne laisse pas le temps de s’ennuyer. On voit se dénouer les fils de l’intrigue. Les passages hallucinés par la prise de drogues sont époustouflants (à se demander ce que l’auteur a testé ou pas) et jettent un certain doute sur ce que l’on va découvrir ensuite ; réalité ou hallucination due aux substances? Le voyage se poursuite au rythme des moteurs vrombissant sur les routes gorgées de chaleur de ce sud américain rugueux et hostile. Et quand on arrive au grand final apocalyptique et gore, on se retrouve plongé dans un délire malsain." FredH sur son blog
 
 
"(...) on a donc un thriller fantastique avec un final en appelant à la mythologie Aztèque qu'un Graham Masterton n'aurait pas renié, même s'il porte aussi la touche et le style de son auteur (...)." Stegg de Psychovision
 
 
"(...) "Stoner Road" est un excellent divertissement et une play list portative." Joyeux Drille sur son blog
 
 
"En bref un récit qui sent la pisse, la bière et la sueur où l’on passe du rire à l’angoisse d’une page à l’autre à un rythme trépidant. Car en effet le livre se lit vite, très vite. J’ai été incapable de poser le livre avant de l’avoir fini. (...) Sans hésitation Stoner road est un livre sympathique qui se lit d’une traite comme une bière tiède durant un concert de métal. On ne criera pas au génie littéraire mais bien au bon goût d’un auteur qui ne se la raconte pas et nous offre une intrigue et une ambiance solide et palpable. Je le conseille donc sans hésiter." Dr. Dandy sur son blog
 
 
"En bref et pour conclure, Stoner Road s’est révélé être une expérience ludique, prenante et assez poilante. Série Z décomplexée, ce roman maîtrisé et très référencé plaira à tous les afficionados de roman trash, de Tarantino et autres artistes bien barrés ! Une petite pépite pour se faire plaisir sur la fin de l’été !" StepH sur son blog
 
 
"(...) Stoner Road est un chouette roman, qui colle à l’ambiance stoner comme un t-shirt de Kyuss colle à son porteur après deux heures de generator party dans le désert. C’est lourd, c’est hypnotique, ça balance les watts. Oui, la musique aussi." Alias sur son blog